Archives pour la catégorie Georges de FEURE (1868-1943) le raffiné (France)

Vase à décor de bacchantes de Georges de FEURE haut de 35 cm (France)

Georges DE FEURE (1868-1943), vase en pâte de verre à décor en relief de bacchantes nues. Epreuve en pâte de verre vert. Signé sous la base. Hauteur : 35 cm. Estimation : 400 €.

Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers

De retour à Paris en 1889, il s’établit à Montmartre et se joint à la Bohème parisienne. Son cercle d’intimes inclus les compositeurs Claude Debussy, Maurice Ravel et Erik Satie. Son œuvre picturale est définitivement inspirée par les poèmes de Charles Baudelaire et les romans de Georges Rodenbach. Dans les années 1990, il est reconnu par Puvis de Chavannes comme l’un des peintres les plus importants du mouvement symboliste français.

Son œuvre est caractérisée par de nombreuses représentations de la femme fatale, thème que l’on retrouve dans l’ensemble des œuvres du courant Art nouveau. Il a également réalisé des vases.

Sa renommée comme peintre symboliste et son expérience comme affichiste pousse le marchand d’art Siegfried Bing à l’approcher afin de lui confier la réalisation de la façade du « pavillon de l’Art nouveau » à l’Exposition universelle de 1900 qui se tient à Paris. Quatre de ses affiches sont reproduites dans la revue Les maîtres de l’affiche (1895-1900), à savoir : 5e exposition du Salon des Cent, Magasin des nouveautés Jeanne d’Arc, Le Journal des ventes et Thés du Palais Indien.  Une grande rétrospective de son œuvre se tient en 1903 puis voyage de Paris à Hambourg et La Haye.

Durant les premières décennies du XXe siècle, il continue à créer des ensembles décoratifs (évoluant du style Art nouveau vers le style Art déco), puis il fonde une compagnie de construction d’aéroplanes et s’intéresse à la confection de costumes et de décors pour le théâtre.

En février 1942, à la suite d’une longue maladie, il demande au ministère des Beaux-Arts d’acquérir deux de ses tableaux pour la collection nationale, ce qui lui sera refusé. Il meurt le 26 novembre 1943 dans le Paris de l’Occupation.

Les signatures :

Les pièces en verre portent la signature « G. de Feure » ou « De Feure » en lettre cursives à l’émail transparent ou moulées en relief au-dessous de la pièce et parfois gravées en camée sur le corps de l’objet, contrairement aux services de table qui ne portent pas d’indication.

Georges de FEURE (1868-1943) Maître du symbolisme et de l’Art Nouveau a réalisé quelques vases (France)

Pichet de Georges de FEURE en verre haut de 21 cm (France)

Georges de FEURE (1868-1943), pichet à corps tubulaire en verre soufflé brun vert orné de deux bandes de verre noir appliquées à chaud. Hauteur : 21 cm. Estimation : 150 €.

Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers

De retour à Paris en 1889, il s’établit à Montmartre et se joint à la Bohème parisienne. Son cercle d’intimes inclus les compositeurs Claude Debussy, Maurice Ravel et Erik Satie. Son œuvre picturale est définitivement inspirée par les poèmes de Charles Baudelaire et les romans de Georges Rodenbach. Dans les années 1890, il est reconnu par Puvis de Chavannes comme l’un des peintres les plus importants du mouvement symboliste français.

Son œuvre est caractérisée par de nombreuses représentations de la femme fatale, thème que l’on retrouve dans l’ensemble des œuvres du courant Art nouveau. Il a également réalisé des vases.

Sa renommée comme peintre symboliste et son expérience comme affichiste pousse le marchand d’art Siegfried Bing à l’approcher afin de lui confier la réalisation de la façade du « pavillon de l’Art nouveau » à l’Exposition universelle de 1900 qui se tient à Paris. Quatre de ses affiches sont reproduites dans la revue Les maîtres de l’affiche (1895-1900), à savoir : 5e exposition du Salon des Cent, Magasin des nouveautés Jeanne d’Arc, Le Journal des ventes et Thés du Palais Indien.  Une grande rétrospective de son œuvre se tient en 1903 puis voyage de Paris à Hambourg et La Haye.

Durant les premières décennies du XXe siècle, il continue à créer des ensembles décoratifs (évoluant du style Art nouveau vers le style Art déco), puis il fonde une compagnie de construction d’aéroplanes et s’intéresse à la confection de costumes et de décors pour le théâtre.

En février 1942, à la suite d’une longue maladie, il demande au ministère des Beaux-Arts d’acquérir deux de ses tableaux pour la collection nationale, ce qui lui sera refusé. Il meurt le 26 novembre 1943 dans le Paris de l’Occupation.

Georges de FEURE (1868-1943) Maître du symbolisme et de l’Art Nouveau a réalisé quelques vases (France)

Pichet en verre signé Georges de FEURE haut de 18 cm (France)

Georges de FEURE (1868-1943), pichet en verre marmoréen. Signé au dessous. Hauteur : 18 cm. Estimation : 100 €.

Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers

De retour à Paris en 1889, il s’établit à Montmartre et se joint à la Bohème parisienne. Son cercle d’intimes inclus les compositeurs Claude Debussy, Maurice Ravel et Erik Satie. Son œuvre picturale est définitivement inspirée par les poèmes de Charles Baudelaire et les romans de Georges Rodenbach. Dans les années 1890, il est reconnu par Puvis de Chavannes comme l’un des peintres les plus importants du mouvement symboliste français.

Son œuvre est caractérisée par de nombreuses représentations de la femme fatale, thème que l’on retrouve dans l’ensemble des œuvres du courant Art nouveau. Il a également réalisé des vases.

Sa renommée comme peintre symboliste et son expérience comme affichiste pousse le marchand d’art Siegfried Bing à l’approcher afin de lui confier la réalisation de la façade du « pavillon de l’Art nouveau » à l’Exposition universelle de 1900 qui se tient à Paris. Quatre de ses affiches sont reproduites dans la revue Les maîtres de l’affiche (1895-1900), à savoir : 5e exposition du Salon des Cent, Magasin des nouveautés Jeanne d’Arc, Le Journal des ventes et Thés du Palais Indien.  Une grande rétrospective de son œuvre se tient en 1903 puis voyage de Paris à Hambourg et La Haye.

Durant les premières décennies du XXe siècle, il continue à créer des ensembles décoratifs (évoluant du style Art nouveau vers le style Art déco), puis il fonde une compagnie de construction d’aéroplanes et s’intéresse à la confection de costumes et de décors pour le théâtre.

En février 1942, à la suite d’une longue maladie, il demande au ministère des Beaux-Arts d’acquérir deux de ses tableaux pour la collection nationale, ce qui lui sera refusé. Il meurt le 26 novembre 1943 dans le Paris de l’Occupation.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/02/06/georges-de-feure-1868-1943-maitre-du-symbolisme-et-de-lart-nouveau-a-realise-quelques-vases/

Pichet de Georges DE FEURE en verre marmoréen estimé 50 € (France)

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Georges DE FEURE (1868-1943), pichet en verre marmoréen orange et vert à anse en verre appliqué. Hauteur : 18 cm.

Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers

De retour à Paris en 1889, il s’établit à Montmartre et se joint à la Bohème parisienne. Son cercle d’intimes inclus les compositeurs Claude Debussy, Maurice Ravel et Erik Satie. Son œuvre picturale est définitivement inspirée par les poèmes de Charles Baudelaire et les romans de Georges Rodenbach. Dans les années 1890, il est reconnu par Puvis de Chavannes comme l’un des peintres les plus importants du mouvement symboliste français.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/02/06/georges-de-feure-1868-1943-maitre-du-symbolisme-et-de-lart-nouveau-a-realise-quelques-vases/

Lampe réalisée par Georges DE FEURE et DAUM estimée 5 000 € (France)

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Georges DE FEURE (1868-1943) et Frères DAUM, lampe en bronze à patine dorée, à deux bobèches et deux bras de lumière. Fût ornementé de feuillage et base quadrangulaire à décor ajouré de fleurs épanouies. Les deux tulipes sont en verre double vitrifié de poudres polychrome. Signé « De Feure » sur la base florale. Tulipes signées « Daum Nancy ». Hauteur : 55 cm. Diamètre : 30 cm. Tulipes : Hauteur : 13 cm. Diamètre : 11 cm.

Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/01/28/daum-un-style-depuis-1875/

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/02/06/georges-de-feure-1868-1943-maitre-du-symbolisme-et-de-lart-nouveau-a-realise-quelques-vases/

Bonbonnière à décor de femme nue et de grappes de raisin de Georges de FEURE (France)

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Georges de Feure (1868-1943), bonbonnière de forme ovale en pâte de verre à décor de femme nue parmi des grappes de raisin. Signée. Longueur : 15 cm.

Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/02/06/georges-de-feure-1868-1943-maitre-du-symbolisme-et-de-lart-nouveau-a-realise-quelques-vases/

Vase en verre moucheté à décor de frise de personnages de Georges DE FEURE (France)

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Georges DE FEURE (1868-1943), vase en verre moucheté jaune à décor de frise de personnages en application fine d’étain. Hauteur : 26 cm.

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Vase en verre moulé à décor de scènes animées à l’antique de George de FEURE (France)

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Georges de FEURE (1863-1943), vase en verre moulé satinés à décor de scènes animées à l’antique. Signé. Hauteur : 17cm.

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Georges de FEURE (1868-1943) Maître du symbolisme et de l’Art Nouveau a réalisé quelques vases (France)

Mise à jour le 30.05.23

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Georges Joseph Van Sluÿters (1868-1943), alias Georges de FEURE est un artiste français. Il est d’origine hollandaise par son père et belge par sa mère. Il est né à Paris en 1868, mais la famille est obligée d’émigrer en 1870 lors du déclenchement de la guerre franco-prussienne. Peintre et poète raffiné, il vivait entouré de lévriers.

De retour à Paris en 1889, il s’établit à Montmartre et se joint à la Bohème parisienne. Son cercle d’intimes inclus les compositeurs Claude Debussy, Maurice Ravel et Erik Satie. Son œuvre picturale est définitivement inspirée par les poèmes de Charles Baudelaire et les romans de Georges Rodenbach. Dans les années 1890, il est reconnu par Puvis de Chavannes comme l’un des peintres les plus importants du mouvement symboliste français.

Son œuvre est caractérisée par de nombreuses représentations de la femme fatale, thème que l’on retrouve dans l’ensemble des œuvres du courant Art nouveau. Il a également réalisé des vases.

Sa renommée comme peintre symboliste et son expérience comme affichiste pousse le marchand d’art Siegfried Bing à l’approcher, afin de lui confier la réalisation de la façade du « pavillon de l’Art nouveau », à l’Exposition universelle de 1900 qui se tient à Paris.

Quatre de ses affiches sont reproduites dans la revue Les maîtres de l’affiche (1895-1900), à savoir : 5e exposition du Salon des Cent, Magasin des nouveautés Jeanne d’Arc, le Journal des ventes et Thés du Palais Indien.  Une grande rétrospective de son œuvre se tient en 1903 puis voyage de Paris à Hambourg et La Haye.

Durant les premières décennies du XXe siècle, il continue à créer des ensembles décoratifs (évoluant du style Art nouveau vers le style Art déco), puis il fonde une compagnie de construction d’aéroplanes et s’intéresse à la confection de costumes et de décors pour le théâtre.

En février 1942, à la suite d’une longue maladie, il demande au ministère des Beaux-Arts d’acquérir deux de ses tableaux pour la collection nationale, ce qui lui sera refusé. Il meurt le 26 novembre 1943 dans le Paris de l’Occupation.

Les signatures :

Les pièces en verre portent la signature « G. de Feure » ou « De Feure » en lettre cursives à l’émail transparent ou moulées en relief au-dessous de la pièce et parfois gravées en camée sur le corps de l’objet, contrairement aux services de table qui ne portent pas d’indication.