Archives du mot-clé Gabriel Argy Rousseau

Plat réalisé en 1927 par Gabriel ARGY ROUSSEAU en pâte de verre d’une hauteur de 4 cm et d’un diamètre de 31 cm (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953) plat « Fleurs » en pâte de verre jaune ocre. Signé. Hauteur : 4 cm – Diamètre : 31 cm. Estimation 2 000 €.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

Ses premières créations furent exposées en 1914, au Salon des Artistes Français. La guerre freinera ses créations. A partir de 1919, il développe momentanément une production en série de flacons, vases, etc .. avec succès. Les pâtes de verre décoratives qu’il produira ensuite, marqueront à toujours sa style et seront récompensées à travers de nombreux prix.

En 1921, il créée « Les Pâtes de verre d’Argy-Rousseau » dont le siège situé au 52 avenue de Ternes, sera transféré en 1923 au 9 rue du Simplon à Paris. Il sera composé de près de 30 employés. Ces pièces sont à contre-courant de la production : épuration des formes, retour de la transparence, et emploie des thèmes encore de l’Art Nouveau (faune et flore). Il emploie des pâtes aux coloris vifs, lumineux et chatoyants avec une forte tendance pour le rouge. Il utilise des moules pour la réalisation des pièces et élabore des pâtes de verre sans plomb.

Après 1931, ne disposant plus d’atelier il présente des pâtes de cristal. Le décor se stylise et plus proche dans les goûts de l’époque. Il sera récompensé en 1927 d’une médaille d’or.

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), la vie et l’œuvre d’un passionné (France)

Vase en pâte de verre de Gabriel ARGY-ROUSSEAU à décor de fleurs de charbons haut de 10 cm (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), vase en pâte de verre opaque blanche à décor en léger relief de fleurs de chardons vertes et rouge. Signé. Hauteur : 10 cm. Estimation : 800 €.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

Ses premières créations furent exposées en 1914, au Salon des Artistes Français. La guerre freinera ses créations. A partir de 1919, il développe momentanément une production en série de flacons, vases, etc .. avec succès. Les pâtes de verre décoratives qu’il produira ensuite, marqueront à toujours sa style et seront récompensées à travers de nombreux prix.

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), la vie et l’œuvre d’un passionné (France)

Pied d’abat jour signé ARGY-ROUSSEAU en pâte de verre décor « Roses » (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), épreuve en pâte de verre crème et jaune à décor en relief de « Roses » à monture d’origine en fer forgé au pied et au col à bague à trois branches (sans abat-jour). Signée Argy- Rousseau. Estimation : 3 500 €.

Vase « Fruits et feuilles » de Gabriel ARGY-ROUSSEAU créé en 1924 haut de 13 cm (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), vase ovoïde  » Fruits et feuilles «  à corps ovoïde épaulé en pâte de verre bleu, violine et blanc. Signé. Hauteur : 13 cm. Estimation : 3 000 €.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

Ses premières créations furent exposées en 1914, au Salon des Artistes Français. La guerre freinera ses créations. A partir de 1919, il développe momentanément une production en série de flacons, vases, etc .. avec succès. Les pâtes de verre décoratives qu’il produira ensuite, marqueront à toujours sa style et seront récompensées à travers de nombreux prix.

En 1921, il créée « Les Pâtes de verre d’Argy-Rousseau » dont le siège situé au 52 avenue de Ternes, sera transféré en 1923 au 9 rue du Simplon à Paris. Il sera composé de près de 30 employés. Ces pièces sont à contre-courant de la production : épuration des formes, retour de la transparence, et emploie des thèmes encore de l’Art Nouveau (faune et flore). Il emploie des pâtes aux coloris vifs, lumineux et chatoyants avec une forte tendance pour le rouge. Il utilise des moules pour la réalisation des pièces et élabore des pâtes de verre sans plomb.

Après 1931, ne disposant plus d’atelier il présente des pâtes de cristal. Le décor se stylise et plus proche dans les goûts de l’époque. Il sera récompensé en 1927 d’une médaille d’or.

En 1932, le krach américain l’oblige à ralentir son activité comme la plupart de ces confrères qui pour certains ont fermé les manufactures. Il travaille pratiquement seul, car créateur avant tout, il est. Il possède un petit atelier au 10, rue Cail à Paris. Jusqu’en 1939, il présente une petite production de qualité et en petite quantité.

Les signatures :

Elles sont moulées dans la pâte de verre sur une ou deux lignes. Elles sont peintes sur à l’émail sur les modèles à décor émaillé. « G. ARGY-ROUSSEAU » ou « ARGY ROUSSEAU » sur deux lignes, « G. ARGY-ROUSSEAU », « G. ARGY ROUSSEAU », « ARGY » sur les plaquettes et pendentifs, « G.A.R » « G.A-R » sur les bijoux et les pendentifs. Vers 1928 « PÂTE DE CRISTAL D’ARGY- ROUSSEAU M. BOURAINE », « G. ARGY-ROUSSEAU M. BOURAINE » et « G. ARGY ROUSSEAU BOURAINE ».

Son décès précéda de peu le fulgurant retour de la vogue des pâtes de verre. Oublié, ruiné et dans la douleur d’une maladie, il meurt à Paris en 1952. Son travail redécouvert aujourd’hui, lui rend justice. Ces pièces restent exemplaires de l’Art Déco.

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), la vie et l’œuvre d’un passionné (France)

Veilleuse « Huppes » de Gabriel ARGY-ROUSSEAU créée en 1925 haute de 16 cm (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), veilleuse « Huppes » en pâte de verre mauve, orange et bleue à décor en léger relief de coqs et d’enroulements  Base circulaire en fer forgé martelé Signée « G Argy Rousseau France ». Hauteur : 16 cm. Estimation : 5 000 €.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), la vie et l’œuvre d’un passionné (France)

Vase « Lichen » de Gabriel ARGY ROUSSEAU réalisé en 1919 en pâte de verre haut de 8 cm (France)

Gabriel ARGY ROUSSEAU (1885-1953), vase modèle  » Lichen  » en pâte de verre à décor dans les tons de violet sur fond gris. Signé. Hauteur : 8 cm. Diamètre : 11 cm. Estimation : 1 500 €.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

Ses premières créations furent exposées en 1914, au Salon des Artistes Français. La guerre freinera ses créations. A partir de 1919, il développe momentanément une production en série de flacons, vases, etc .. avec succès. Les pâtes de verre décoratives qu’il produira ensuite, marqueront à toujours sa style et seront récompensées à travers de nombreux prix.

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), la vie et l’œuvre d’un passionné (France)

Vase « Arbre à fleurs » de Gabriel ARGY-ROUSSEAU en pâte de verre haut de 20 cm (France)

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Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), vase « Arbre en fleurs »en pâte de verre. Signé. Hauteur : 20 cm. Estimation : 2 000 €.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/02/02/gabriel-argy-rousseau-1885-1953-la-vie-et-loeuvre-dun-passionne/

Vase « Primevères » de Gabriel ARGY-ROUSSEAU réalisé en 1924 haut de 17 cm (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), vase « Primevères » en pâte de verre à décor de fleurs stylisées. Hauteur : 17 cm, signé. Estimation : 2 500 €.

Ses premières créations furent exposées en 1914, au Salon des Artistes Français. La guerre freinera ses créations. A partir de 1919, il développe momentanément une production en série de flacons, vases, etc .. avec succès. Les pâtes de verre décoratives qu’il produira ensuite, marqueront à toujours sa style et seront récompensées à travers de nombreux prix.

En 1921, il créée « Les Pâtes de verre d’Argy-Rousseau » dont le siège situé au 52 avenue de Ternes, sera transféré en 1923 au 9 rue du Simplon à Paris. Il sera composé de près de 30 employés. Ces pièces sont à contre-courant de la production : épuration des formes, retour de la transparence, et emploie des thèmes encore de l’Art Nouveau (faune et flore). Il emploie des pâtes aux coloris vifs, lumineux et chatoyants avec une forte tendance pour le rouge. Il utilise des moules pour la réalisation des pièces et élabore des pâtes de verre sans plomb.

Après 1931, ne disposant plus d’atelier il présente des pâtes de cristal. Le décor se stylise et plus proche dans les goûts de l’époque. Il sera récompensé en 1927 d’une médaille d’or.

En 1932, le krach américain l’oblige à ralentir son activité comme la plupart de ces confrères qui pour certains ont fermé les manufactures. Il travaille pratiquement seul, car créateur avant tout, il est. Il possède un petit atelier au 10, rue Cail à Paris. Jusqu’en 1939, il présente une petite production de qualité et en petite quantité.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/02/02/gabriel-argy-rousseau-1885-1953-la-vie-et-loeuvre-dun-passionne/

Gabriel ARGY-ROUSSEAU était un grand maître verrier, mais également un passionné de peinture (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), peinture « Petit port de Honfleur », 1906.
Huile sur panneau signé et daté en bas à droite.  Dimensions : 24 cm x 33 cm. Estimation : 400 €.

Gabriel ARGY-ROUSSEAU était un grand maître verrier, mais également un passionné de peinture.

De son vrai nom Joseph-Gabriel Rousseau, Gabriel Argy-Rousseau est né dans un petit village de Beauce à Meslay le Vidame (Eure et Loire),  dans une famille d’ouvriers agricoles. Il prit ce nom à son mariage en 1913, en accolant à son propre nom les quatre premières lettres du nom de sa femme Marianne Argyriadès, en hommage à son apport culturel, sentimental et familial.

Il entra à 17 ans en 1903 à l’Ecole Nationale de Céramique de Sèvres où il eut Albert Dammouse comme professeur. Les recherches d’Henri Cros, qui disposait d’un atelier mis à sa disposition dans l’enceinte de la manufacture, éveillèrent son intérêt pour la pâte de verre.

Il fit des études brillantes. Esprit vif et créatif, passionné de peinture, il s’installe dans un petit atelier au 52 avenue des Ternes à Paris.

Ses premières créations furent exposées en 1914, au Salon des Artistes Français. La guerre freinera ses créations. A partir de 1919, il développe momentanément une production en série de flacons, vases, etc .. avec succès. Les pâtes de verre décoratives qu’il produira ensuite, marqueront à toujours sa style et seront récompensées à travers de nombreux prix.

En 1921, il créée « Les Pâtes de verre d’Argy-Rousseau » dont le siège situé au 52 avenue de Ternes, sera transféré en 1923 au 9 rue du Simplon à Paris. Il sera composé de près de 30 employés. Ces pièces sont à contre-courant de la production : épuration des formes, retour de la transparence, et emploie des thèmes encore de l’Art Nouveau (faune et flore). Il emploie des pâtes aux coloris vifs, lumineux et chatoyants avec une forte tendance pour le rouge. Il utilise des moules pour la réalisation des pièces et élabore des pâtes de verre sans plomb.

Après 1931, ne disposant plus d’atelier il présente des pâtes de cristal. Le décor se stylise et plus proche dans les goûts de l’époque. Il sera récompensé en 1927 d’une médaille d’or.

En 1932, le krach américain l’oblige à ralentir son activité comme la plupart de ces confrères qui pour certains ont fermé les manufactures. Il travaille pratiquement seul, car créateur avant tout, il est. Il possède un petit atelier au 10, rue Cail à Paris. Jusqu’en 1939, il présente une petite production de qualité et en petite quantité.

Son décès précéda de peu le fulgurant retour de la vogue des pâtes de verre. Oublié, ruiné et dans la douleur d’une maladie, il meurt à Paris en 1952. Son travail redécouvert aujourd’hui, lui rend justice. Ces pièces restent exemplaires de l’Art Déco.

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Coupe « Guirlande » de Gabriel ARGY ROUSSEAU réalisée en 1925 haute de 10 cm (France)

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), coupe sur pied modèle « Guirlande » en pâte de cristal translucide, brun et violine à décor de branchages, signée. Hauteur : 10 cm. Diamètre : 25 cm. Estimation : 1 500 €.

Les signatures :

Elles sont moulées dans la pâte de verre sur une ou deux lignes. Elles sont peintes sur à l’émail sur les modèles à décor émaillé. « G. ARGY-ROUSSEAU » ou « ARGY ROUSSEAU » sur deux lignes, « G. ARGY-ROUSSEAU », « G. ARGY ROUSSEAU », « ARGY » sur les plaquettes et pendentifs, « G.A.R » « G.A-R » sur les bijoux et les pendentifs. Vers 1928 « PÂTE DE CRISTAL D’ARGY- ROUSSEAU M. BOURAINE », « G. ARGY-ROUSSEAU M. BOURAINE » et « G. ARGY ROUSSEAU BOURAINE ».

Gabriel ARGY-ROUSSEAU (1885-1953), la vie et l’œuvre d’un passionné (France)