Archives pour la catégorie Charles SCHNEIDER un Maître Verrier apprécié outre atlantique (France)

Vase de Charles SCHNEIDER à décor de grappes de raisin faut de 30 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953) vase « Perlières » en verre multicouche à décor dégagé  à fond mauve et orangé dégradé. Hauteur : 30 cm. Estimation : 800 €.

De la grande époque de la verrerie Art nouveau-Art déco (entre 1895 et 1935), le grand public retient surtout trois noms, Daum, Gallé et Lalique. Un quatrième, Schneider, plus discret, fait également partie de cette pléiade qui a pris son envol avec l’École de Nancy, lorsque les artistes, souvent lorrains ou alsaciens, se sont repliés sur l’autre versant des Vosges après la défaite de 1870, là où se trouvent, encore aujourd’hui, nombre de cristalleries de renom, Baccarat ou Saint Louis notamment. Une toute récente exposition permet de découvrir cette verrerie au style particulier, très appréciée par les amateurs et collectionneurs, de plus en plus nombreux, de cet art décoratif, aux cotes qui ne cessent de grimper.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Pichet signé CHARDER réalisé vers 1927-1929 par Charles SCHNEIDER haut de 22 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), pichet en verre à décor de palmiers jaunes. Signature dégagée à l’acide et signature à la pointe CHARDER. Hauteur  22 cm. Estimation : 800 €.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Vase cornet de Charles SCHNEIDER haut de 17 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), vase cornet sur talon à large col en verre clair teinté violet vers la base, au décor gravé à l’acide. Signé SCHNEIDER sur le pourtour du talon. Hauteur : 17 cm. Estimation : 600 €.

Il y a Charles Schneider (formé chez Daum) l’artiste et son frère Ernest le gestionnaire, originaires de Lorraine, rachètent en 1913 une verrerie à Epinay-sur-Seine près de Paris, là où se trouvent les clients fortunés. Pendant la Grande Guerre, la verrerie fournit du matériel médical et dès l’armistice, connait un immense succès commercial : en 1925 elle compte plus de 500 salariés.

Mais avec la crise de 1929, la verrerie périclite pour fermer en 1939 (prononciation de la faillite). Pendant une dizaine d’années, le succès est tel, qu’adepte du marketing à outrance avant l’heure, la société instaure trois marques bien distinctes : à côté des oeuvres  originales toujours signées Schneider, les plus chères, les plus sophistiquées, sont produites en plus grande série des pièces sous l’appellation soit Charder (contraction de Charles Schneider) soit Le Verre Français, histoire de répondre à une forte demande du marché, notamment américain. Car la verrerie colorée de style est très à la mode dans les milieux aisés, soutenue par des artistes tels Delaunay, Dufy ou Léger et des décorateurs, Dufrène ou Sornay. De 1930 à 1933 la ligne signée Verçais produit des verreries moulées, originales et de bonne qualité avec un prix de vente plus adapté au contexte économique de l’époque. Elle rencontre le succès après des Grands Magasins.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Coupe série « Bijoux »de Charles SCHNEIDER haute de 20 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), série « Bijoux », coupe sur pied en verre poudré polychrome en intercalaire, la partie basse du calice au décor de cabochons bleus appliqués à chaud. Le pied constitué d’une jambe en verre teinté noir reposant sur une base en verre poudré rouge. Signée SCHNEIDER, à l’or sur la base. Hauteur : 20 cm. Estimation : 800 €.

De la grande époque de la verrerie Art nouveau-Art déco (entre 1895 et 1935), le grand public retient surtout trois noms, Daum, Gallé et Lalique. Un quatrième, Schneider, plus discret, fait également partie de cette pléiade qui a pris son envol avec l’École de Nancy, lorsque les artistes, souvent lorrains ou alsaciens, se sont repliés sur l’autre versant des Vosges après la défaite de 1870, là où se trouvent, encore aujourd’hui, nombre de cristalleries de renom, Baccarat ou Saint Louis notamment. Une toute récente exposition permet de découvrir cette verrerie au style particulier, très appréciée par les amateurs et collectionneurs, de plus en plus nombreux, de cet art décoratif, aux cotes qui ne cessent de grimper.

Il y a Charles Schneider (formé chez Daum) l’artiste et son frère Ernest le gestionnaire, originaires de Lorraine, rachètent en 1913 une verrerie à Epinay-sur-Seine près de Paris, là où se trouvent les clients fortunés. Pendant la Grande Guerre, la verrerie fournit du matériel médical et dès l’armistice, connait un immense succès commercial : en 1925 elle compte plus de 500 salariés.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Vase « Aubépines » de Charles SCHNEIDER haut de 42 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), vase balustre « Aubépines ». Hauteur : 42 cm. Signature au berlingot bleu blanc rouge. Estimation : 2 000 €.

De la grande époque de la verrerie Art nouveau-Art déco (entre 1895 et 1935), le grand public retient surtout trois noms, Daum, Gallé et Lalique. Un quatrième, Schneider, plus discret, fait également partie de cette pléiade qui a pris son envol avec l’École de Nancy, lorsque les artistes, souvent lorrains ou alsaciens, se sont repliés sur l’autre versant des Vosges après la défaite de 1870, là où se trouvent, encore aujourd’hui, nombre de cristalleries de renom, Baccarat ou Saint Louis notamment. Une toute récente exposition permet de découvrir cette verrerie au style particulier, très appréciée par les amateurs et collectionneurs, de plus en plus nombreux, de cet art décoratif, aux cotes qui ne cessent de grimper.

Il y a Charles Schneider (formé chez Daum) l’artiste et son frère Ernest le gestionnaire, originaires de Lorraine, rachètent en 1913 une verrerie à Epinay-sur-Seine près de Paris, là où se trouvent les clients fortunés. Pendant la Grande Guerre, la verrerie fournit du matériel médical et dès l’armistice, connait un immense succès commercial : en 1925 elle compte plus de 500 salariés.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Vase de Charles SCHNEIDER modèle Azurettes haut de 21 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), vase de forme boule sur piédouche modèle « Azurettes » en verre gravé à l’acide à décor bleu sur fond bleu clair. Signé. Hauteur : 21 cm. Estimation : 800 €.

De la grande époque de la verrerie Art nouveau-Art déco (entre 1895 et 1935), le grand public retient surtout trois noms, Daum, Gallé et Lalique. Un quatrième, Schneider, plus discret, fait également partie de cette pléiade qui a pris son envol avec l’École de Nancy, lorsque les artistes, souvent lorrains ou alsaciens, se sont repliés sur l’autre versant des Vosges après la défaite de 1870, là où se trouvent, encore aujourd’hui, nombre de cristalleries de renom, Baccarat ou Saint Louis notamment. Une toute récente exposition permet de découvrir cette verrerie au style particulier, très appréciée par les amateurs et collectionneurs, de plus en plus nombreux, de cet art décoratif, aux cotes qui ne cessent de grimper.

Il y a Charles Schneider (formé chez Daum) l’artiste et son frère Ernest le gestionnaire, originaires de Lorraine, rachètent en 1913 une verrerie à Epinay-sur-Seine près de Paris, là où se trouvent les clients fortunés. Pendant la Grande Guerre, la verrerie fournit du matériel médical et dès l’armistice, connait un immense succès commercial : en 1925 elle compte plus de 500 salariés.

https://leverrelecristaletlapatedeverre.wordpress.com/2014/01/24/charles-schneider-1881-1953-un-maitre-verrier-apprecie-outre-atlantique/

Vase à décor de papillons en verre réalisé en 1925 et signé CHARDER d’une hauteur de 66 cms (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), vase à décor de papillons en verre. Signé CHARDER. Hauteur : 66 cm. Estimation : 800 €.

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Vase « Phlox » de Charles SCHNEIDER réalisé en 1925 haut de 34 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), vase « Phlox » en verre poudré jaune et orange, doublé de verre poudré rose à violet, le décor dégagé à l’acide, le pied tacheté de vert. Hauteur : 34 cm. Estimation : 1 300 €.

De la grande époque de la verrerie Art nouveau-Art déco (entre 1895 et 1935), le grand public retient surtout trois noms, Daum, Gallé et Lalique. Un quatrième, Schneider, plus discret, fait également partie de cette pléiade qui a pris son envol avec l’École de Nancy, lorsque les artistes, souvent lorrains ou alsaciens, se sont repliés sur l’autre versant des Vosges après la défaite de 1870, là où se trouvent, encore aujourd’hui, nombre de cristalleries de renom, Baccarat ou Saint Louis notamment. Une toute récente exposition permet de découvrir cette verrerie au style particulier, très appréciée par les amateurs et collectionneurs, de plus en plus nombreux, de cet art décoratif, aux cotes qui ne cessent de grimper.

Il y a Charles Schneider (formé chez Daum) l’artiste et son frère Ernest le gestionnaire, originaires de Lorraine, rachètent en 1913 une verrerie à Epinay-sur-Seine près de Paris, là où se trouvent les clients fortunés. Pendant la Grande Guerre, la verrerie fournit du matériel médical et dès l’armistice, connait un immense succès commercial : en 1925 elle compte plus de 500 salariés.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Suspension de Charles SCHNEIDER signée CHARDER haute de 54 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), suspension « Dahlias » à structure en fer forgé à patine noire à décor de liserons et volutes, grande vasque en verre multicouche mauve et violet sur fond jaspé rose et satiné, décor gravé à l’acide d’une composition de dahlias. Signatures gravée à l’acide « Charder » et incisée « Le Verre Français ». Hauteur : 74 cm. Diamètre : 54 cm. Estimation : 3 000 €.

Charles SCHNEIDER (1881-1953) un Maître-Verrier apprécié outre-Atlantique (France)

Lampe « Dahlias » en verre de Charles SCHNEIDER réalisée entre 1923-1928 haute de 40 cm (France)

Charles SCHNEIDER (1881-1953), lampe « Dahlias » en verre jaspé rose et violet, à décor gravé à l’acide de motifs végétaux stylisés, monture en fer forgé à patine noire. Signature incisée « Le Verre Français ».  Hauteur : 40 cm. Estimation : 2 500 €.

De la grande époque de la verrerie Art nouveau-Art déco (entre 1895 et 1935), le grand public retient surtout trois noms, Daum, Gallé et Lalique. Un quatrième, Schneider, plus discret, fait également partie de cette pléiade qui a pris son envol avec l’École de Nancy, lorsque les artistes, souvent lorrains ou alsaciens, se sont repliés sur l’autre versant des Vosges après la défaite de 1870, là où se trouvent, encore aujourd’hui, nombre de cristalleries de renom, Baccarat ou Saint Louis notamment. Une toute récente exposition permet de découvrir cette verrerie au style particulier, très appréciée par les amateurs et collectionneurs, de plus en plus nombreux, de cet art décoratif, aux cotes qui ne cessent de grimper.

Il y a Charles Schneider (formé chez Daum) l’artiste et son frère Ernest le gestionnaire, originaires de Lorraine, rachètent en 1913 une verrerie à Epinay-sur-Seine près de Paris, là où se trouvent les clients fortunés. Pendant la Grande Guerre, la verrerie fournit du matériel médical et dès l’armistice, connait un immense succès commercial : en 1925 elle compte plus de 500 salariés.

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